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 Ce bilan s’inscrit dans le cadre global du dynamisme de l’économie ivoirienne avec une croissance moyenne de 8,1% sur la période 2012-2019, une résilience aux chocs de la pandémie Covid-19 et de la crise Russo-Ukrainienne, et une croissance estimée à 6,6% en moyenne sur la période 2021-2023.

Dans la droite ligne de la vision stratégique « Côte d’Ivoire 2030 » du président de la République S.E.M. Alassane Ouattara, le Gouvernement entend poursuivre son élan de développement à travers la mise en œuvre de son troisième Plan National de Développement (PND) 2021-2025. Dans ce cadre, la contribution de l’ensemble des partenaires au développement dont la Chine, est fortement attendue. En tant que 7ème client et le 1er fournisseur de la Côte d’Ivoire à fin 2023, la Chine est un partenaire stratégique. Il nous faut capitaliser sur la coopération Sino-Ivoirienne dans la perspective de la consolidation de la croissance à 7% en moyenne sur la période 2024-2026.

Infrastructure et Industrialisation

 Plus de 2500 Mds FCFA investis dans les infrastructures en Côte d’Ivoire ces dix dernières années. L’objectif visé est de consolider la dynamique amorcée avec le secteur industriel dont la contribution au PIB est passée de 23,6% en 2022 à 24,5% en 2023.  

Agriculture et Sécurité Alimentaire

 L’agriculture reste un secteur de grande importance pour notre économie, produisant environ 22% de notre PIB et plus de 60% des emplois.

Énergie et Transition Énergétique

 La coopération avec la Chine est essentielle pour atteindre nos objectifs d’accès universel à l’électricité et de mix énergétique de 16% d’ici 2030. Réduction du taux de pauvreté 17,9 points de pourcentage en moins d’une décennie, en passant de 55,4% en 2011 à 37,5% en 2021.  

Il faut noter qu’il y a une amélioration des indicateurs d’inégalités avec l’indice de Gini qui passe de 0,351 en 2018 à 0,334 en 2021. Dans le secteur Education-Formation, les Projets de construction et d’équipement de 03 lycées d’excellence mixtes avec Internat (Bouaké, Daloa, Divo) et de 07 établissements de formation professionnelle (Anyama,Diabo,Gbéléban, Kong, Korhogo, Dabakala, Yamoussoukro) contribuent à la qualité du capital humain tant des entrepreneurs que des employés.

  Les investissements chinois ont également inclus des programmes de formation et de transfert de technologie. Plus de 10 000 entrepreneurs locaux ont bénéficié de ces initiatives, ce qui a permis aux PME d’améliorer leurs compétences techniques et managériales.

                     Aicha Mambassou Koné    


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