Jean-Marc Yacé réaffirme son mandat à la tête de la Fédération Ivoirienne de Taekwondo : « Il n’y a pas eu de limogeage ! »

Dans un contexte de tensions au sein de la Fédération Ivoirienne de Taekwondo, Jean-Marc Yacé, président en exercice, a fortement contesté la légitimité des récents événements qui ont conduit à sa prétendue démission. Lors d’une déclaration publique, il a affirmé : « Il n’y a pas de limogeage ! Rien n’a été respecté, ni les normes, ni le droit, ni les statuts de la fédération. »

Yacé a souligné les irrégularités survenues lors d’une réunion tenue par des membres dissidents, expliquant qu’ils n’avaient même pas invité le ministère, qui les soutient, ni le Comité National Olympique (CNO). « Tout ce qu’ils ont fait n’est pas conforme aux procédures établies. Cette situation soulève des inquiétudes quant au respect des règles qui régissent notre fédération », a-t-il poursuivi.

Le président a également clairement exprimé son désir de maintenir la séparation entre la gestion de la fédération et les influences politiques, en appelant à plus de respect dans les interactions au sein de l’organisation : « Il faut qu’on se respecte et qu’on ne mélange pas la politique avec le fonctionnement de notre fédération. »

Au milieu de cette controverse, Jean-Marc Yacé reste déterminé à poursuivre son mandat, clamant que les choix des dissidents ne représentent ni la voix de la Fédération ni le respect des procédures statutaires. L’avenir de la Fédération Ivoirienne de Taekwondo semble incertain alors que les tensions internes continuent de s’intensifier.

Aimé Kouassi

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